« Mon enfant ne veut pas dormir »

couv jpgA vous qui venez de raccompagner votre enfant dans son lit pour la 412ème fois à 21 heures, et qui avalerez, excédés, un dîner froid. A toi qui te relèves à 3 heures du matin dans le froid de ton appartement, qui viens de t’éclater le doigt de pied sur un lego pour calmer le cauchemar de ta cadette. A toi qui ne te souviens plus à quand date ta dernière nuit complète : mon guide parental sur les troubles du sommeil de l’enfant sort en librairie le 6 février 2020!

Dans la collection « Parents au top » des édition Eyrolles, ce guide est un recueil de témoignages, d’expériences, d’astuces, de réflexions à se poser quand nos nuits sont hachées ou que le coucher est un désastre. Vous avez tout essayé! Etre ferme, être cool, le laisser dîner avec vous, le laisser pleurer, pleurer avec lui, dormir dans son lit, le faire dormir dans le vôtre… résultat : vous êtes épuisés et à bout!

Le mot d’ordre est : déculpabilisez!

Observez, écoutez, accompagnez, respirez, et surtout sur-tout prenez soin de vous.

Extrait :

« Il y a la théorie et puis il y a la pratique. Certaines mères ont l’impression que leur bébé ne dort jamais ou appréhendent de le voir cumuler les siestes la journée de peur de ne plus trouver le sommeil la nuit. Et si l’enfant pleure quand on le couche ou qu’il se réveille au bout de seulement vingt minutes, que faire ? Autrefois on disait que pleurer permettait au nouveau-né de développer ses poumons. Aujourd’hui encore, on entend çà et là qu’habituer un bébé à être dans les bras c’est prendre le risque d’en faire un enfant tyran !« 

« Les pleurs font partie de la vie d’un nouveau-né. Ils sont plus ou moins intenses selon les enfants et peuvent être très pénibles à vivre pour leurs parents. « Les pleurs sont la première cause de maltraitance de l’enfant », rappelle le docteur Gueguen. Les parents totalement désemparés, stressés, excédés par ces crises de larmes quotidiennes ont besoin d’être accompagnés, d’apprendre à comprendre les pleurs pour mieux y répondre.

Avant au moins l’âge de 4 ans, l’enfant n’est pas capable de s’apaiser seul ni de gérer ses émotions. Quand on le laisse pleurer, des molécules de stress (cortisol et adrénaline) sont sécrétées. Or elles sont très toxiques pour son cerveau encore immature et peuvent, à terme, détruire des neurones.« 

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